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union européenne - Page 6

  • Démocratie : la fin ?

    Je considère le nationalisme comme le véhicule de la lutte pour la reconnaissance et la source des plus violents conflits de notre temps.

    La démocratie avait l’objectif de remplacer le désir irrationnel d’une nation d’être reconnue comme plus grande que les autres, plus forte, plus structurée, plus organisée, plus travailleuse etc… par le désir rationnel d’être une nation égale dans un monde égalitaire. 

    Un monde aux nations égalitaires dotées de démocraties libérales devait connaître moins d’occasions de guerres, puisque toutes ces nations reconnaitraient leur légitimité mutuelle.
    Ces nations se réservaient le droit et le devoir de faire la guerre à des Etats qui ne partageaient pas leurs valeurs fondamentales.

    Ce fut le cas en Europe de l’Ouest et plus « globalement » en Occident. Le « calme libéral y est revenu » et le libéralisme consumériste prit son essor.

    Mais le nationalisme y fut de nouveau en plein essor, en particulier au moment ou des pays de l’Europe de l’EST rejoignirent l’Ouest au sein de l’UE.

    Il semble que ce soit en raison des promesses non tenues de la « démocratie libérale » Européenne.
    DES questions se posent : le communisme est il vraiment mort ? La religion « structurante » peut-elle revenir en force … et LAQUELLE ? L’ultra libéralisme autoritaire, oligarchique également ?

    Bref il semble que les démocraties « libérales » réussies, et rassemblées par cette réussite, ne peuvent le rester très longtemps.
    Les contradictions internes, les pressions démographiques et immigrationistes, finiront par ruiner le système politique qu’elles constituent.
    L’effondrement est en cours et semble à terme inévitable.

    La question se pose du comment redonner sens à la « reconnaissance universelle et égale » et effacer les effets « niveleurs » de l’idéologie « égalitariste » de la révolution française.

    C'est-à-dire à une société globalement régulée ET contrôlée au moins dans ses axes essentiels comme la démographie, l’immigration, la finance, l’économie …pour commencer. 

    Francis-claude Neri
    06 02 18

  • Le choc des présidentielles

    Beaucoup de nos amis sont sous le choc et désorientés, ils ne savent vraiment plus vers qui et vers quoi se tourner pour sortir de l’impasse dans lequel la tornade politico-médiatique des élections Présidentielles et législatives les ont laissés.

    C'est comme lorsque passe un ouragan ou une grosse "pollution" ce qui peut régénérer le tout ce sont les zones intactes autour ...ce fut le cas avec le Rhin après pollution des industries chimiques et pharmaceutiques ...les affluents et les nappes phréatiques l'ont régénéré ...c'est ce que NOUS allons faire et ce en dehors des partis et des appareils et en nous appuyant sur la partie encore saine de NOTRE organisme.
    Il nous faut aller plus loin dans l’analyse, le savoir être et le savoir faire. Comprendre et vite que s’en est fini des partis et de leurs appareils.

    La grande avancée de la recomposition politique française actuelle, ce n’est pas seulement d’être sorti du clivage gauche-droite, c’est que tous les partis et leurs appareils se sont effondrés, qu’ils ne sont plus crédibles et qu’il nous faut voir ailleurs et particulièrement auprès du peuple qui lui à prit conscience bien avant les politiques de la terrible réalité qui se joue sous nos yeux.

    Il y a bien une coupure entre le peuple et les élites pour le moins aveugles et qui nient les réalités quotidiennes dont souffrent les citoyens.
    Le peuple qui lui subit l’absence de sécurité, d’autorité, d’ordre, d’immigration ou d’islamisme et bien entendu le tout se doublant d’insécurité sur l’emploi, sur sa culture, son identité etc.

    Comme nous le dit avec force notre ami Pascal Dondon « Quand un immeuble s'effondre, on ne le reconstruit pas en commençant par la toiture, on repart des fondations...et en France, les fondations ce sont le peuple.

    « A lui de reconstruire ses rêves en partant sur de nouvelles bases, pas avec des vestiges qui les a manipulé et trahi...le FN, comme le PS, les RP et le Centre est mort...fantasmer sur leurs dépouilles c'est risquer de s'enterrer avec eux... »

    Notre rêve, c’est la reconstruction de la France et la reconquête de nos territoires : notre terre tout d’abord en reconduisant les nouveaux occupants  inassimilables vers d’autres horizons et en les empêchant d’y revenir. 
    Ensuite nos territoires économique, culturel, cultuel, démographique etc. en luttant pour réguler, contrôler et remédier aux méfaits de la mondialisation et de son cheval de Troie Européen : l’Union Européenne.

    Les partis politiques, et les politiciens, nous ont montré leurs limites et aucun d’entre nous ne leur accorde la moindre crédibilité.
    La reconquête passera nécessairement par un changement structurel profond y compris de nos attitudes et de nos comportements.

    C’est par la constitution de petits groupes « informels » de 3 à 7  personnes disséminés sur l’ensemble du territoire national voire au delà que viendra la régénérescence et particulièrement de ce qu’il est convenu d’appeler « la France périphérique » (Christophe GUILLUY) par opposition avec la France des grandes métropoles qui elles, sont globalement pro-mondialisation et pro-UE).

    Les info-groupes répondent à la définition de la notion de système car ils sont constitués en réseau et en « interactions dynamiques orientés vers un but », un objectif : la reconquête.
    Ils sont organisés de manière fractale, c’est à dire que chaque info-groupe contient la totalité des « informations » de l’ensemble.
    Autonomes, ils agissent en toute subsidiarité, c’est à dire en toute responsabilité opérationnelle sur les évènements locaux et ce sont eux qui demandent assistance et intervention des autres info-groupes.
    Ils informent (mettent en forme) et sont informés (sont mis en forme) par l’ensemble du réseau (interaction/rétroaction).
    Ils savent distinguer les « signaux faibles » et anticipent les actions (les réponses) à conduire.     

    Quelle que soit l’entrée que nous adoptons individuellement – l’économie, la finance, l’emploi, l’immigration, l’UE, l’Euro, le culturel, le cultuel, l’éducation etc. -  il faut aller plus loin et à partir de trois notions qu’il convient de correctement appréhender (faire une recherche Google pour ceux qui n’en sont pas familier)

    1. Celle de réseau, de système et d’interaction.
    2. Celle de structures fractales.
    3. Celle de subsidiarité

    Il apparaît que c’est au sein d’une structure « informelle » comme la notre mais structurée et organisée en réseau que le changement peut se construire et se développer afin d’être « opérationnels » pour 2022.   

    Il appartiendra au « pôle central » des info-groupes de discuter avec les responsables politiques, économiques, médiatiques nationaux afin de tester leur crédibilité et de déterminer si nous devons les soutenir ou les accepter au sein de notre « organisation » (de notre mouvement comme le désigne notre ami Paul Abysses Compe).
    Notre objectif est de peser sur les prochaines élections et de nous organiser –au delà des partis- pour imposer le choix de NOS candidats.

    Certains comme  Emanuelle Menard semblent avoir  une  vision de l’avenir que j’interprète comme étant proche de la notre, et cette vision doit nous intéresser.

    Nous devons refuser à la fois la dilution de la France dans une fondue européenne et la trahison du communautarisme à l’opposé de notre traditionnel creuset fédérateur.

    Nous avons le choix entre une pseudo-modernité d’ouverture et la fidélité à l’âme de la nation. Il ne faut pas confondre cette attitude avec le repli sur soi.

    Et il faut dire la vérité au pays et non pas recourir à des manœuvres machiavéliques pour conduire les Français là où ils ne veulent pas aller.

    En effet, nous serons d’autant plus européens, même en dehors de l’UE, que nous serons français, décidés à refonder une Europe protectrice des nations.

    Nous ne pourrons y parvenir qu’en conservant le potentiel de notre génie national et la flamme d’un idéal de civilisation qui soit basée sur NOS valeurs, celles qui ont fait ce que nous sommes et que nous sommes seuls à pouvoir revisiter.

    L’Union européenne, dans l’état actuel d’une structure hétéroclite, sans âme, privée de vision d’avenir, ne peut prétendre à la souveraineté tant qu’elle n’a pas la capacité de prendre les décisions dans l’intérêt des nations qui la composent, notamment pour le phénomène migratoire, le développement économique de l’Afrique, la lutte contre la fraude fiscale.

    La souveraineté est le propre de toute nation, notamment de la France de 2.000 ans d’existence.

    C’est l’affaire des citoyens, héritiers d’une trajectoire historique et respectueux des générations qui les ont précédés a qui il appartient d’imposer cette vision d’avenir qui demeure liée au rapport des Français à leur histoire.

    Les dirigeants politiques doivent être contraints de choisir entre leur pouvoir personnel ou la France.

    Quant aux citoyens, à défaut des partis politiques en phase terminale, il leur appartient, au nom de la France en danger, de faire revenir au pouvoir un gouvernement qui  soit sur la ligne de départ de la nation, qui protège les citoyens et assure la défense de leurs intérêts.

    Nous avons foi en la France et nous ne laisserons pas les apprentis sorciers actuels, de droite comme de gauche, qui se tirent éternellement la bourre entre eux, revenir au pouvoir pour refaire exactement la même chose que ce qu’ils font depuis 45 ans.
    Sur ce point les citoyens français sont largement en avance sur les politiques qui nous sortent la rengaine de l’union des droites qu’ils nous rabâchent depuis 30 ans sans jamais la faire, les appareils des partis ne la feront jamais.

    A ce titre Robert Menard et son épouse, qui mènent ce combat depuis longtemps, disent tout haut ce que les sympathisants du FN pensent tout bas : ni Mr Wauquiez ni Madame Le PEN ne le veulent vraiment.

    Les époux Menard démontrent en fait que c’est le « ni droite ni gauche » qui l’a emporté …mais que c’est Mr Macron qui l’a fait ….je peux comprendre leur colère !

    Le séisme Macron, le « trou noir » qui absorbe tout, n’est toujours pas ni analysé, ni mesuré par les partis politiques.

    Ils n’ont toujours pas compris que de droite et de gauche, il fallait être « en même temps ». C’est d’ailleurs son expression favorite que bêtement ses opposants ont moquée.

    Le peuple de France lui a compris que tout était possible, mais pas avec les appareils politiques ; il lui faut dépasser les partis.

    L’union peut être réalisée, mais à la base, au plus près du peuple…bien entendu il faut être patient et être sur le terrain. Il faut construire des alliances locales et çà seuls des individus non prisonniers d’un parti peuvent le faire, au delà même des politiciens pour qui tout ce qui les intéressent c’est de ramasser des voix pour se faire élire.
    Nous n’avons pas besoin d’eux et c’est  un vrai combat, fondamental que nous avons à mener, à la base, prés du peuple.

    C’est sur ces concepts que nous construisons le réseau « info-groupe avec un principe de base qui est celui de la subsidiarité, c’est à dire la possibilité de s’assumer localement avec ses forces et de se rassembler globalement pour gagner ensemble.

    Plus est en nous et rien qu’en nous ! 

    Francis-claude Neri

    19 09 17  

     

     

  • Chère Marine Le Pen,

    Je me fais l’écho de nombreux amis qui seraient à deux doigts de basculer en votre faveur, mais que la peur d’une sortie de l’euro dissuade encore. Tout le monde ne lit pas les travaux de Stiglitz qui théorisent l’incongruité de la monnaie unique, son effet ravageur sur les économies de la zone euro, et son avenir bien funeste lié aux dettes souveraines que ce « modèle monétaire » n’a eu de cesse d’augmenter, jusqu’à prendre les peuples souverains à la gorge.

    A deux mois de l’élection présidentielle, ne serait-il par grand temps, chère Madame, de bâtir un argumentaire concis et efficace, pour rassurer ceux qui hésitent encore face à l’inconnu entretenu avec emphase par les médias ?

    Ce n’est pas parce que le discours de Florian Philippot me parle immédiatement, qu’il séduit ceux qui s’interrogent ! Et comment voulez-vous que ceux qui ont déjà tout perdu, n’aient pas peur de perdre le peu qu’il leur reste ?

    Je connais aussi des convaincus qui voteront pour vous indubitablement, mais qui sont bien loin des considérations européennes, et comment vous le dire ? C’est du gâchis à deux mois des élections !

    Allez, un peu de Stiglitz pour les « nuls », à deux mois des élections, rédigé en tract et propagé dans les réseaux sociaux, ça ne gâte rien, et pourrait faire péter notre plafond de verre. Vous avez des économistes ? Et bien qu’ils rédigent. Je vous le dis en toute amitié patriote, le deuxième tour vous sera favorable si vous arrivez à démontrer que l’Union Européenne s’appuie sur « l’euro-deutschemark- et que nous en sommes tous victimes !

    Ce grand nivellement à la baisse des salaires, de la désindustrialisation liée aux productions lointaines ou à cette fameuse directive « Bolkenstein » (que je vis tous les jours dans les queues devant les caisses de supermarché en Béarn) est vécu, mais pas « intériorisé » par nos compatriotes.

    Ne serait-il pas opportun de souligner davantage cette aberration qui consiste pour l’Allemagne à profiter des subventions françaises « à hauteur de 9 milliards € » et dont l’effet ne fait que renforcer « la perte sur échange de devise » d’un Zloty bien faible pour acquérir des équipements vendus en euros ? C’est tout le problème du marché « Mittel Europa »

    Oui la dette française, comme vous l’avez justement précisée est régie par le droit français, mais à qui voulez-vous que ce charabia parle, s’il n’est pas décliné en conséquences intelligibles ?

    Deux mois, Madame Le Pen, il ne reste plus que deux mois ! Et c’est précisément parce que l’on compte sur vous, que nous revendiquons !

    Mes plus sincères amitiés patriotes.

    Patrick Escudie
    26 02 17